The practice of Thomas Naville is part of a conceptual and cross-disciplinary approach between sculptural practice and design.
His approach questions the shaping of matter and space with the aim of creating meaning, expressing an idea, critique, and aesthetics through the practice of gesture.
La pratique de Thomas Naville s'inscrit dans une démarche conceptuelle et transversale entre la pratique sculpturale et le design.
Son approche interroge la mise en forme de la matière et de l'espace dans l’objectif de créer du sens, d’exprimer à travers la pratique du geste, une idée, une critique et une esthétique.
Design | volume
La forme de Paluhta est pensée en fonction des contraintes des matériaux proposés et des outils à disposition pour la réaliser. Dans une recherche d’économie de matière, le plateau de la table vient subtilement prendre sa forme dans l’espace laissé par la découpe du piètement. La découpe à la CNC de la table se fait dans un panneau de contreplaqué de peuplier de 15mm d’épaisseur et de 250x125 cm avec une surface de chutes réduite au minimum nécessaire. Son design est adaptable à toute autre épaisseur de bois.
Réalisé à l'occasion des 31 ans de la galerie Duchamp, Zag est un mobilier sur-mesure pour exposer les nombreux livres édités par la galerie, restituant les différentes expositions accueillies par le lieu ces 31 dernières années.
Il fallait donc un présentoir à la grandeur de leurs collections : Zag fait 9m de long et s'insère dans l'espace d'exposition en prenant le parti de s'inscrire tant dans l'espace architectural que l'espace scénographique. Son nom est d'ailleurs une référence à une sculpture de Vincent Barré, nommé Zig, présentée durant l'exposition. Elle réinterprète ses formes en explorant l'espace horizontal de la Galerie.
Les barrières et leurs principes d’ouvertures et de fermetures, sont un processus applicable à plusieurs échelles de la vie. Ce geste systématique de construction à la fois mental et formel qui revendique des territoires culturels, géographiques ou sociaux, constitue à bien des égards, l’homme dans ses rapports aux autres et à l’espace. Les barrières sont une constituantes essentielles des valeurs identitaires et culturelles des espaces, des lieux et des personnes. Les différentes formes de barrières matérialisent ainsi dans l’espace, la condition des limites. Ainsi à travers cette série "N°", j’explore la condition des limites à la fois physiques mais aussi sociales. Cette recherche théorique et plastique tente d’énoncer, de comprendre, d’expérimenter et d’user ces formes. Il s’agit là de parvenir à travers l’imaginaires et la pratique de ces formes, de participer à la compréhension des barrières dans nos sociétés contemporaines. Je chercher à travers ma pratique du design à questionner l’idée de fermeture et d’ouverture qui structure l’espace habitable dans sa dimension spatiale et culturelle.
Les barrières et leurs principes d’ouvertures et de fermetures, sont un processus applicable à plusieurs échelles de la vie. Ce geste systématique de construction à la fois mental et formel qui revendique des territoires culturels, géographiques ou sociaux, constitue à bien des égards, l’homme dans ses rapports aux autres et à l’espace. Les barrières sont une constituantes essentielles des valeurs identitaires et culturelles des espaces, des lieux et des personnes. Les différentes formes de barrières matérialisent ainsi dans l’espace, la condition des limites. Ainsi à travers cette série "N°", j’explore la condition des limites à la fois physiques mais aussi sociales. Cette recherche théorique et plastique tente d’énoncer, de comprendre, d’expérimenter et d’user ces formes. Il s’agit là de parvenir à travers l’imaginaires et la pratique de ces formes, de participer à la compréhension des barrières dans nos sociétés contemporaines. Je chercher à travers ma pratique du design à questionner l’idée de fermeture et d’ouverture qui structure l’espace habitable dans sa dimension spatiale et culturelle.
Ces assises sont inspirées des hérissons Tchèques, dont la fonction est la défense des frontières. Une forme militarisée associée à l’idée de défense, la matérialité de ces barrières entre contradictions avec la notion d’hospitalité. Ces formes sont alors retravaillées de façon à transformer leur fonction initiale et d’en changer le sens. Ce travail de détournement permet d’exacerber les tensions entre la matérialité des frontières et la politique qui les mets en place. La barrière n’est plus un obstacle mais un lieux de vie, une espace sur lequel on s’installe.
Malo est un projet de scénographie pour la collection design du frac Dunkerque, dans le cadre d’un workshop avec l’Esad Valenciennes. Malo se propose comme une expérience pour la découverte du design et de l’action du Frac dans la constitution, la diffusion et la médiation, d’oeuvres design.
Le projet s’inspire, des digues adjacentes au musée, il s’agit de faire avec et pour le lieu en s’intégrant à son paysage culturel, comme à son paysage maritime. Le projet se présente comme une salle de stockage, d’exposition, de visionnage et de circulation.
Echos se présente comme une série de sculptures et de photographies, dont le point commun est la notion d'échos dans l'espace. Cette réflexion cherche à faire exister des élément dans l'espace gràce à la répétion de leur forme initial.
à la façon d'un petit caillou que l'on vient jeter dans une mare et dont la forme première du caillou va se répéter dans l'espace qu'est cette mare. On vois ainsi de petites ondulations qui vont envahirent l'espace en répétant les forme sphérique de l'impacte ou de la rencontre entre le caillou et la marre.
C'est vagues deviennent des preuve que l'impacte un bien eu lieu. Le caillou à pourtant coulé au fond de la mare mais on en garde toujours une trace.
c'est échos deviennent comme des socles pour la sculpture une façon de justifier leurs présences dans l'espace.
Réalisée en partenariat avec Benjamin Decle et Thomas Roger, yoyo est une expérimentation de l'espace à travers la fabrication d'outils. Réaliser à l'Esad Valenciennes et présenter dans le cadre d'un coloc sur le Design social.
Yoyo tente d'offrir une expérience questionnant l'espace physique et social des prisons. En effet il s'inspire des outil de contrebande eux mêmes appelé yoyo et dont l'usage se résume à faire passer des objets par le biais des fenêtres.
Ce principe est détourné et donne lieu à la conception d'outils plus insolites les uns que les autres dont la fonction serait celle d'un genre de ping pong jouable uniquement à travers deux fenêtres d'une même façade. Créant un décalage entre le contexte initial du projet et l'aspect burlesque des outils proposés.