Echos se présente comme une série de sculptures et de photographies, dont le point commun est la notion d'échos dans l'espace. Cette réflexion cherche à faire exister des élément dans l'espace gràce à la répétion de leur forme initial.
à la façon d'un petit caillou que l'on vient jeter dans une mare et dont la forme première du caillou va se répéter dans l'espace qu'est cette mare. On vois ainsi de petites ondulations qui vont envahirent l'espace en répétant les forme sphérique de l'impacte ou de la rencontre entre le caillou et la marre.
C'est vagues deviennent des preuve que l'impacte un bien eu lieu. Le caillou à pourtant coulé au fond de la mare mais on en garde toujours une trace.
c'est échos deviennent comme des socles pour la sculpture une façon de justifier leurs présences dans l'espace.
Volume
Les pièces sont principalement constituées d’une ossature métallique dont le rôle premier est d’établir une limite stricte dans l’espace. Cette assemblage est verrouillé grâce à un système cadenassé. Habillée de tubes de mousse polyuréthane jaune et bleu dont la fonction est d’adoucir la structure. Invitant ainsi le spectateur à s’y installer tout en l’empêchant d’y trouver une position confortable. Les boudins confèrent à l’objet à la fois une dimension sympathique tout en évoquant une forme expansive voir bactérienne.
Esad Valenciennes, (2016).
Esad Valenciennes, (2016).
Esad Valenciennes, (2016).
Esad Valenciennes, (2016).
Esad Valenciennes, (2016).
Bipede
Entre barrière et jeu de construction, inspiré du barbelé ce projet se présente comme un système d’assemblage prolifique, dont le but est de modifier l’espace. Les barres se lient les unes aux autres grâce à une jonction facile à manipuler. Au fur et à mesure que la structure grandit l’espace se transforme, on y circule différemment. Bien que gênante la structure n’empêche pas le passage. Elle le modifie et place le spectateur dans une déambulation contrariée mais pas impossible.
Esad Valenciennes, (2015).
Esad Valenciennes, (2015).
Esad Valenciennes, (2015).
Photographie
Entre barrière et jeu de construction, inspiré du barbelé ce projet se présente comme un système d’assemblage prolifique, dont le but est de modifier l’espace. Les barres se lient les unes aux autres grâce à une jonction facile à manipuler. Au fur et à mesure que la structure grandit l’espace se transforme, on y circule différemment. Bien que gênante la structure n’empêche pas le passage. Elle le modifie et place le spectateur dans une déambulation contrariée mais pas impossible.